Une éducation (Tara Westover)
Le récit d'une émancipation et d'une construction de soi. Un témoignage d'une grande force difficilement oubliable.
Le Manuel de cuisine alternative (Gilles Daveau)
Une cuisine créative, non sectaire, pour se nourrir autrement.
Idiotie (Pierre Guyotat)
Confrontation à la réalité, souvent sordide, d'un jeune homme à la recherche de l'absolu.
Une écriture fascinante au très haut pouvoir évocateur.
Prix Médicis 2018
Tu t'appelais Maria Schneider (Vanessa Schneider)
Nous rentrons dans l'intimité de cette femme au destin funeste.
Un livre qui sonne juste, qui bouleverse, et qui nous fait comprendre une époque: les années 1970 et l'après-mai 68.
Les Passeurs de livres de Daraya (Delphine Minoui)
Comment des livres peuvent aider à vivre et à garder l'espoir malgré l'horreur de la guerre. Un beau récit plein de sensibilité.
L'Oubli que nous serons (Héctor Abad Faciolince)
Ecrit par son fils, l'histoire d'un médecin pratiquant une médecine sociale, et tué par un pouvoir conservateur et violent.
Un récit poignant.
Oeuvre non trouvée
Deux destins qui se croisent et des personnages touchants.
Agnès Ledig est vraiment douée pour écrire de belles histoires toutes simples.
Tout homme est une nuit (Lydie Salvayre)
Une autopsie froide du mécanisme de la xénophobie et celle, haletante, de la souffrance de sa victime.
Le sentiment de l'estuaire (Chantal Detcherry)
L'estuaire est pour l'auteur un lieu de vie. Elle y a grandi et nous fait partager sa tendresse pour ce pays qu'elle aime.
De l'émotion à chaque page, une très belle écriture poétique, et des anecdotes qui rendent ce récit très vivant.
L'Oubli (Emma Healey)
Une femme qui perd la mémoire, d'autres qui ont disparu...
Davantage qu'un thriller classique, il s'agit d'un vrai drame psychologique où l'accent est mis sur les émotions et le ressenti du personnage principal.
Un roman très maîtrisé et qui sonne juste.
Malgré elle (David-James Kennedy)
Un suspense réussi et haletant entre passé et présent.
Un thriller qu'on lit sans reprendre son souffle.
Le divan d'Istanbul (Alessandro Barbero)
Une fabuleuse introduction à l'histoire de l'Empire Ottoman, écrite de main de maître.
La Vénitienne et autres nouvelles précédé de le Rire et les rêves et de Bois laqué (Vladimir Nabokov)
Des nouvelles poétiques et mélancoliques écrites dans une prose magnifique.
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